Stornoway Termine La Portion Terrain Du Programme De Forage 2014 De Renard

11-17-2014

Renard 2 intersectée sur une largeur considérable et jusqu’à 1000 mètres sous la surface

Stornoway Diamond Corporation (TSX-SWY; « Société » ou « Stornoway ») est heureuse de faire le point sur le programme de forage 2014 visant l’expansion des ressources du projet diamantifère Renard au Québec. La portion terrain du programme est maintenant terminée, en voici les faits saillants :

  • 12 010 mètres ont été forés dans la kimberlite Renard 2 par forage profond directionnel de 33 branches à partir de 3 trous pilotes;
  • L’intersection de kimberlite la plus profonde se trouvait à 1012 mètres verticalement sous la surface, à une profondeur où l’interprétation des dimensions transversales de Renard 2 suggère un corps de plus d'un hectare qui demeure ouvert en profondeur;
  • L’envergure du corps de Renard 2 à plus de 600 mètres de profondeur est semblable à celle de la partie supérieure de la cheminée.  Si on considère les réserves minérales actuelles, le modèle géologique préliminaire suggère, en effet, un tonnage de 9 à 12 M tonnes entre 600 m et 1000 m sous la surface;
  • Les quatre principaux types de roches kimberlitiques de la partie supérieure de la cheminée sont présents et sont cohérents avec les forages profonds;
  • Le traitement des échantillons de forage pour en établir la teneur en diamants a commencé par la récupération d’un diamant de 1,01 carat par fusion caustique et d’un diamant de 0,97 par séparation en milieu dense, la présence de diamants de cette taille dans de petits échantillons est caractéristique au projet Renard.

Matt Manson, président et chef de la direction, a déclaré : « Le programme de forage 2014 visant l’expansion des ressources a répondu aux attentes que nous avions quant au tonnage potentiel de la kimberlite sous les réserves minérales déjà établies. Même si la kimberlite affiche en profondeur de légères zones de pincement et de gonflement, elle demeure à 1000 mètres sous la surface d’une dimension et d’une composition géologique semblable à ce qu’elle est près de la surface. Il s’agit d’un gisement exceptionnel et le programme de forage 2014, un défi technique en soi, a permis de délimiter plusieurs années d’exploitation potentielle au-delà du plan de mine actuel basé sur des réserves de 11 ans. Nous passons maintenant à la modélisation géologique détaillée et au traitement des échantillons, une nouvelle estimation des ressources minérales est prévue à la fin de 2e trimestre de 2015. »

C’est au début avril que le forage en profondeur a commencé à Renard 2 avec trois foreuses effectuant chacune un trou pilote, à partir duquel étaient redirigés, à l’aide d’équipement de forage directionnel, une série de branches très serrés. Deux foreuses positionnées dans les limites de Renard 2 foraient subverticalement la kimberlite, une troisième foreuse était localisée hors du corps kimberlitique et forait avec des trous inclinés. Un total de 33 branches ont été dirigés à partir des trois trous pilotes elles mesuraient de 5,3 m à 724,8 m. Deux trous indépendants plus courts ont également été forés de la surface à l’intérieur du corps de Renard 2. Au cours de ce programme, ce sont 12 010 m au total qui ont été forés avec des diamètres variés ; BQ, NQ et HQ. Le forage continu le plus long s’étendait sur 1 086 m du début à la fin du trou. La distance verticale testée la plus profonde était de 1 056 m, la zone la plus profonde où la kimberlite a été intersectée était à 1 012 m sous la surface.

Le forage a effectué assez d’intersections internes dans la kimberlite et de percées externes sur les flancs du corps pour en préciser la forme entre 600 m (base des ressources minérales indiquées et des réserves minérales actuelles) jusqu’à 1000 m sous la surface. Les quatre unités géologiques caractéristiques de la kimberlite Renard 2 ont chacune été intersectées : Kimb2a (kimberlite bleue), Kimb2b (kimberlite brune), Kimb2c (kimberlite hypabyssale) et CRB/CRB-2a (brèche de roche encaissante).

La modélisation géologique initiale des résultats de forage suggère que Renard 2 conserve une largeur transversale importante jusqu’à 1000 m de profondeur (voir tableau ci-dessous). Les irrégularités de forme de la cheminée, signalées dans les 600 premiers mètres, continuent jusqu’à 1000 m sous la surface, et il n’y a jusqu’à maintenant aucune indication que la proportion des unités de diatrème Kimb2a et Kimb2b diminuerait sensiblement dans la kimberlite avec la profondeur. Cela signifie donc que la « zone racine », qui devrait comprendre des zones étroites de kimberlite hypabyssale primaire, n’est toujours pas atteinte, et qu’on peut considérer Renard 2, à 1000 m sous la surface, comme ouverte en profondeur.

Forme du modèle géologique initial de Renard 2

Profondeur Interprétation préliminaire des dimensions
de la cheminée kimberlitique
  Dimensions horizontales
maximales
Zone transversale
approximative1

50 m 110 m sur 215 m 1,86 ha
100 m 110 m sur 215 m 1,66 ha
200 m 100 m sur 230 m 1,71 ha
300 m 110 m sur 200 m 1,07 ha
400 m 125 m sur 190 m 1,05 ha
500 m 180 m sur 210 m 1,57 ha
600 m 175 m sur 210 m 1,51 ha
700 m 175 m sur 170 m 1,23 ha
800 m 170 m sur 160 m 1,20 ha
900 m 170 m sur 160 m 1,16 ha
1000 m 170 m sur 160 m 1,14 ha

Note 1 : La zone transversale interprétée de la kimberlite regroupe les unités hautement diamantifères, Kimb2a, Kimb2b et Kimb2c, qui contiennent les ressources minérales indiquées de la cheminée ainsi que des unités de brèche de roche encaissante (« CRB ») contenant des ressources minérales présumées de teneur moindre et dont le volume est important dans la portion supérieure de la kimberlite, de la surface à 200 m de profondeur. La définition de « kimberlite » n’inclut pas les unités de roche encaissante craquée (« CCR ») que l’on sait contenir des zones intermittentes de kimberlite hypabyssale, mais non incluses dans les ressources minérales.

Même si la description détaillée des carottes se poursuit, le modèle général de l’emplacement indiqué par le forage laisse supposer un tonnage estimé de 9 à 12 M tonnes, entre 600 et 1000 m sous la surface. En comparaison, l’estimation des ressources minérales actuelles de Renard 2 est constituée de 18,6 M tonnes de ressources minérales indiquées jusqu’à 600 m de profondeur (18,7 M carats à 100 carats par cent tonnes, ou cpct), de 5,2 M tonnes de ressources minérales présumées entre 600 m et 700 m de profondeur (6,2 M carats à 119 cpct) et d’un potentiel d’exploration hors ressources de 4 à 4,6 M tonnes sous les 700 m (4,2 à 7,3 M carats entre 104 et 158 cpct).

Les diamants de Renard 2 ont été évalués, en mars 2014, à 197 $ US/carat, ceci selon le modèle de référence de prix des diamants établi de manière conventionnelle par WWW International Diamond Consultants Ltd avec une sensibilité maximale à 222 $ US/carat et une sensibilité minimale à 178 $ US/carat.

Le lecteur doit savoir que des ressources minérales qui ne sont pas des réserves minérales n’ont pas fait la preuve de leur viabilité économique. De plus, la qualité et la teneur potentielle d’une cible d’exploration sont de nature conceptuelle, et il est incertain que des travaux d’exploration permettent ultérieurement de les inclure comme ressources minérales.

Étapes suivantes

Description détaillée de carottes, modélisation géologique tridimensionnelle, échantillonnage et collecte de d’autres données sont en cours pour déterminer la structure interne de Renard 2 en-dessous de 600 m de la surface et la proportion relative de chaque unité géologique. L’échantillonnage consiste essentiellement dans l’examen de la cheminée par l’analyse d’une série de tranches horizontales de 50 m. On estime qu’un total de 50 tonnes de carottes seront soumises à la séparation en milieu dense pour récupération de macrodiamants, environ 3,5 t de carottes seront envoyées à la dissolution caustique pour extraction de microdiamants, des échantillonnages supplémentaires feront l’objet de recherche sur les minéraux indicateurs, d’analyses géochimiques, de travaux de pétrographie et de détermination de la densité. Des essais pour établir la teneur en diamants sont en cours chez Microlithics Laboratories Inc., à Thunder Bay (Ontario), mais jusqu’à présent aucune évidence pétrographique ne laisse supposer une variation quelconque par rapport aux caractéristiques de teneur établies précédemment pour le corps de Renard 2. Parmi les diamants récupérés des échantillons déjà traités, mentionnons une pierre de 0,97 carat d’un échantillon traité par séparation en milieu dense de l’unité kimb2c de Renard 2 entre 450 et 500 m sous la surface, que l’on a décrit comme un agrégat tétrahexaédrique brun difforme.

Outre celles de Renard 2, des études sont en cours pour mieux comprendre la teneur et les caractéristiques pétrographiques de d’autres kimberlites contenant des ressources minérales présumées hors les réserves minérales établies, tels que Renard 3, Renard 4, Renard 9, Lynx et Hibou, et les corps hors ressources minérales établies, tels que Renard 1, Renard 7, Renard 8, Renard 10 et certains autres systèmes de dyke. Lors de travaux sur des carottes archivées, une pierre de 1,01 carat a été récupérée par fusion caustique dans un échantillon de l’unité kimb4c (kimberlite hypabyssale) de Renard 4. Cette pierre est décrite comme un octaèdre partiellement résorbé incolore et difforme. La récupération régulière de diamants de cette taille dans des échantillons relativement petits est caractéristique au projet Renard.

Le programme de forage de Renard 2014 est entièrement financé par le produit du placement privé de 10 M$ d’actions accréditives mené par Stornoway à la fin de 2013; il devrait être complété dans les limites du budget fixé.

À propos du projet diamantifère Renard

Le projet diamantifère Renard est situé à environ 250 km au nord de la communauté crie de Mistissini et à 350 km au nord de Chibougamau dans la région de la baie James, dans le centre-nord du Québec. Le 8 juillet 2014, Stornoway annonçait la clôture du montage financier complet du projet d’un montant de 946 M$ CA, la construction a commencé le 10 juillet 2014. Les premiers minerais devraient être livrés à l’usine au cours de la deuxième moitié de 2016 et la production commerciale est prévue pour le deuxième trimestre de 2017.

Stornoway a publié en janvier 2013 les résultats de son étude de faisabilité optimisée pour Renard soulignant le potentiel qu’a le projet de devenir un important fournisseur de diamants bruts de grande valeur au cours de sa durée de vie. Les réserves minérales probables, comme définies par le Règlement 43-101 – Information concernant les projets miniers, atteignent 17,9 millions de carats. Les ressources minérales indiquées, incluant les réserves minérales, se chiffrent à 27,1 millions de carats, avec 16,85 millions de carats supplémentaires classés comme ressources minérales présumées, et de 25,7 à 47,8 millions de carats sont classés comme potentiel d’exploration hors ressources. On prévoit une production annuelle moyenne de diamants de 1,6 million de carats pendant les 11 premières années de vie de la mine, avec une valeur moyenne de 190 $ US/carat, comme établi lors de l’évaluation de mars 2014 de WWW International Diamond Consultants Ltd.

Le lecteur doit savoir que la qualité et la teneur potentielles d’une cible d’exploration sont de nature conceptuelle, que trop peu de travaux d’exploration ont été réalisés pour établir la présence de ressources minérales et que rien ne garantit que des travaux d’exploration plus poussés permettront d’établir la présence de ressources minérales. Toutes les kimberlites demeurent ouvertes en profondeur. Les lecteurs sont invités à consulter le rapport technique du 28 février 2013 relativement à l’étude d’optimisation de janvier 2013 et le communiqué de presse du 23 juillet 2013 relativement à l’estimation des ressources minérales, pour de plus amples renseignements et d’autres hypothèses concernant le projet. L’information de nature scientifique ou technique du présent communiqué a été préparée sous la supervision de Robin Hopkins, géologue (T.N.-O./Nt), vice-président, Exploration, une « personne qualifiée » au sens du Règlement 43-101.

À propos de Stornoway Diamond Corporation

Stornoway est l’une des plus importantes sociétés canadiennes d’exploration et de mise en valeur de propriétés diamantifères et elle est inscrite à la cote de la Bourse de Toronto sous le symbole SWY. Son siège social est situé à Montréal. Son projet phare, le projet diamantifère Renard, qu’elle détient en propriété exclusive, est en voie de devenir la première mine de diamants du Québec. Stornoway est une société axée sur la croissance qui détient un actif de classe mondiale dans l’un des meilleurs territoires miniers au monde et l’un des plus remarquables milieux d’affaires du secteur minier au monde.

STORNOWAY DIAMOND CORPORATION
/s/‘Matt Manson’
Matt Manson
Président et chef de la direction

For more information, please contact Matt Manson (President and CEO) at 416-304-1026 x101
or Orin Baranowsky (Director, Investor Relations) at 416-304-1026 x103
or toll free at 1-877-331-2232

Pour plus d’information, veuillez communiquer avec M. Ghislain Poirier, Vice-président, Affaires publiques de Stornoway au 418-254-6550, gpoirier@stornowaydiamonds.com

** Site Web : www.stornowaydiamonds.com Courriel : info@stornowaydiamonds.com **

Le présent communiqué de presse contient des « énoncés prospectifs » au sens des lois sur les valeurs mobilières canadiennes. Ces énoncés, appelés dans les présents « énoncés prospectifs », sont préparés à la date du présent communiqué de presse et la Société n’entend pas les mettre à jour et n’a aucune obligation de le faire, sauf si elle y est tenue par la loi.

 

Les énoncés prospectifs se rapportent à des événements futurs ou à un rendement futur; ils reflètent les attentes ou les opinions actuelles concernant des événements futurs et ils comprennent, sans s’y limiter, des énoncés à l’égard i) de la quantité de ressources minérales et de gisements minéraux potentiels des cibles d’exploration; ii) de la quantité de la production future pour une période donnée; iii) de la valeur actualisée nette et des taux de rendement internes de l’exploitation minière; iv) des hypothèses relatives à la teneur récupérée, à la récupération moyenne du minerai, à la dilution interne, à la dilution minière et à d’autres paramètres miniers indiqués dans l’étude de faisabilité ou l’étude d’optimisation; v) des hypothèses relatives aux produits bruts des activités ordinaires, aux flux de trésorerie opérationnels et à d’autres éléments des produits des activités ordinaires indiqués dans l’étude de faisabilité ou l’étude d’optimisation; vi) du potentiel d’agrandissement de la mine et de sa durée de vie prévue; vii) des délais prévus pour la délivrance des permis et des approbations réglementaires et la prise de décision de production; viii)  des plans d’exploration futurs; ix) des cours futurs des diamants bruts; x) les avantages économiques d’utiliser une centrale électrique alimentée au gaz naturel liquéfié plutôt qu’au diesel; xi) des sources de financement et des besoins de financement prévus; xiii) la réalisation, la prise d’effet ou la disponibilité, selon le cas, des autres composantes des opérations de financement et l’emploi du produit tiré de celles-ci; et xiv) les répercussions des opérations de financement sur les activités, l’infrastructure, les occasions, la situation financière, l’accès aux capitaux et la stratégie globale de la Société. Toute déclaration qui exprime ou implique des discussions en ce qui concerne les prévisions, attentes, croyances, plans, projections, objectifs, hypothèses ou événements ou rendement futurs (souvent, mais pas toujours, en utilisant des mots ou expressions tels que « s’attendre à », « prévoir », « planifier », « projeter », « estimer », « supposer », « avoir l’intention », « stratégie », « buts », « objectifs », « calendrier » ou des variantes de ceux-ci ou en indiquant que certaines actions, événements ou résultats « peuvent », « pourraient » ou « devraient » être pris, survenir ou être atteints ou en utilisant le mode futur ou conditionnel à leur égard ou encore la forme négative de l’un de ces termes ou d’expressions similaires) n’est pas un énoncé de faits historiques et peut être un énoncé prospectif.

Les énoncés prospectifs sont établis en fonction de certaines hypothèses formulées par Stornoway ou ses consultants et d’autres facteurs importants qui, s’ils se révèlent inexacts, pourraient amener les résultats, performances ou réalisations réels de Stornoway à différer considérablement des résultats, performances ou réalisations futurs exprimés ou sous-entendus dans ces énoncés. Ces énoncés et renseignements s’appuient sur plusieurs hypothèses en ce qui concerne les stratégies et perspectives d’entreprise actuelles et futures ainsi que le contexte dans lequel Stornoway exercera son activité à l’avenir, y compris le prix des diamants, les coûts prévus et la capacité de Stornoway d’atteindre ses objectifs, le rendement financier prévu, l’évolution réglementaire, les plans de mise en valeur, l’exploration et les activités et engagements en matière de mise en valeur et d’exploitation minière. Bien que la direction estime que ses hypothèses concernant ces questions sont raisonnables compte tenu de l’information dont elle dispose actuellement, elles pourraient s’avérer inexactes. Parmi les hypothèses importantes posées par Stornoway dans le cadre de la préparation des énoncés prospectifs, on note les suivantes : i) les investissements requis et les besoins estimatifs en matière de main-d’œuvre; ii) les estimations de la valeur actualisée nette et des taux de rendement internes; iii) la réception des approbations réglementaires selon des modalités acceptables dans des délais habituels; iv) l’hypothèse selon laquelle une décision de production sera prise et cette décision sera positive; v) le calendrier prévu de mise en production de la mine; vi)  les cours des diamants bruts et leur possible impact sur le projet diamantifère Renard; vii) la capacité de Stornoway à mener à bien les opérations de financement afin de lui permettre de financer la mise en valeur et la construction du projet diamantifère Renard; viii) l’interprétation géologique de Stornoway provenant des données de forage et son impact potentiel sur l’état des ressources minérales et la durée de vie de la mine et ix) les plans d’exploration et les objectifs futurs. Des risques additionnels sont décrits dans la notice annuelle et les rapports de gestion annuel et intermédiaire récemment déposés par Stornoway ainsi que dans d’autres documents d’information disponibles sous le profil de la Société à l’adresse www.sedar.com.

Par nature, les énoncés prospectifs comportent des incertitudes et des risques inhérents, tant généraux que spécifiques, et il y a un risque que les estimations, les prévisions, les projections et les autres énoncés prospectifs ne se concrétisent pas ou que les hypothèses ne reflètent pas la réalité future. Nous avertissons les lecteurs de ne pas se fier indûment à ces énoncés, étant donné que différents facteurs de risque importants pourraient faire en sorte que les résultats réels diffèrent sensiblement des opinions, des plans, des objectifs, des attentes, des prévisions, des estimations, des hypothèses et des intentions qui sont exprimés dans ces énoncés prospectifs. Ces facteurs de risque peuvent être généralement décrits comme le risque que les hypothèses et estimations mentionnées ci-dessus ne se matérialisent pas, incluant l’hypothèse figurant dans plusieurs énoncés prospectifs selon laquelle d’autres énoncés prospectifs seront exacts, mais ils comprennent particulièrement, sans s’y limiter, i) les risques liés aux variations de teneur, de lithologies kimberlitiques et de contenu de roche encaissante dans le matériau identifié en tant que ressources minérales par rapport aux prévisions; ii) les variations des taux de récupération et de fracturation; iii) l’incertitude quant à savoir si l’exploration additionnelle de cibles d’exploration entraîne la délimitation des cibles comme ressources minérales; iv) les faits nouveaux survenant sur les marchés mondiaux du diamant; v) les hausses plus lentes que prévu des évaluations des diamants; vi) les risques associés aux fluctuations du dollar canadien et d’autres monnaies par rapport au dollar américain; vii) les augmentations relatives aux coûts en capital et aux coûts opérationnels proposés; viii) les hausses des coûts de financement ou les changements défavorables touchant les conditions du financement disponible, le cas échéant; ix) des taux d’imposition ou de redevances plus élevés que prévu; x) l’incertitude lié aux résultats de l’exploration dans les zones d’élargissement potentiel des ressources; xi) les changements visant les plans de mise en valeur ou d’exploitation minière en raison de changements visant d’autres facteurs ou des résultats d’exploration; xii) les changements visant les paramètres de projet alors que la mise au point des plans se poursuit; xiii) les risques liés à l’obtention d’approbations réglementaires ou à la mise en œuvre de l’entente sur les répercussions et les avantages existante conclue avec les collectivités autochtones; xiv) les incidences de la concurrence sur les marchés où Stornoway exerce des activités; xv) les risques d’exploitation et d’infrastructure; xvi)  l’échéancier et les bénéfices potentiels se rapportant à l’émission de la mise à jour de l’estimation des ressources minérales en 2015; xvii)  l’incapacité d’obtenir les approbations réglementaires (y compris celles des bourses), ou d’autres approbations, ou l’incapacité à satisfaire aux conditions liées à la réalisation, à la prise d’effet ou à la disponibilité, selon le cas, de chacune des composantes de la Transaction Financière; xviii) la possibilité que les fonds aux termes de certaines des composantes de l’entente ne soient pas disponibles pour la Société; xix) les futures ventes ou émissions d’actions ordinaires entraînant la baisse du prix des actions ordinaires et la dilution de l’intérêt des actionnaires actuels; xx) le fait que Stornoway est incapable de s’acquitter de ses obligations de livraison des diamants aux termes du contrat d’achat de la production; et xxii) les risques additionnels décrits dans la notice annuelle, les rapports de gestion annuel et intermédiaire récemment déposés par Stornoway ainsi que l’anticipation de la part de Stornoway par rapport à la gestion des risques décrits plus haut et l’efficacité avec laquelle elle les gère. Stornoway prévient le lecteur que la liste qui précède de facteurs qui peuvent influer sur les résultats futurs n’est pas exhaustive et que de nouveaux risques imprévisibles peuvent survenir de temps à autre.